Description
Le lieutenant-général Roméo Dallaire est rentré du Rwanda, en septembre 1994, après y avoir assumé le commandement de la Force de maintien de la paix des Nations unies. Son retour au pays marqua le début d’un nouveau cauchemar. S’il avait laissé derrière lui le génocide rwandais – ses 800 000 morts et ses millions de victimes –, son souvenir, de même que la douleur d’avoir perdu en cours de mission 14 militaires sous ses ordres, allait commencer à le torturer. Il lui faudra sept ans avant de pouvoir commencer à écrire sur ce sujet. À travers le récit de ce témoignage douloureux s’esquissent l’aveu d’un échec ainsi qu’une critique des forces internationales. J’ai serré la main du diable est un cri du cœur contre l’indifférence.
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